Numero 14 – Décembre 2024
Numéro 14 – Décembre 2024
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Prédiction, vérification et correction des erreurs de phonétique dans la didactique du français chez les apprenants sanphones : Adama DIO
Les apprenants sanphones rencontrent des difficultés de phonétiques dans l’enseignement- apprentissage du français. Celles-ci sont dues aux contrastes phonologiques entre…
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L’esthétique subversive des récits magiques du pacte diabolique : Adamou KANTAGBA
Depuis sa mise au point en 2014, la poétique magique a contribué, sur bien d’aspects, à une meilleure compréhension du…
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Mathematisation du non-dit de la dynamique de la sexualité dans le signe de la source D’okoumba-Nkoghe : Claire Versuela IDOMBA MBOUKOUABO
L’œuvre d’Okoumba-Nkoghé met en avant la tension entre ce qui est exprimé ouvertement et ce qui est sous-entendu ou caché,…
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Circulation routière et violence verbale a Ouagadougou : un problème de rapport aux normes au Burkina Faso : Bouraïman ZONGO
Cet article sur le lien entre circulation routière et violence verbale à Ouagadougou pose la problématique de rapports aux normes…
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Réalité sécuritaire des activités touristiques dans la sous-préfecture de Jacqueville : Badjo Julienne SOGBOU-ATIORY – Aimé Kouassi YAO – N’dri Germain APHING-KOUASSI
Cet article est une contribution scientifique qui expose sur la réalité sécuritaire, encore à l’état embryonnaire, du tourisme à Jacqueville.…
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Espaces et personnage : pour une approche du sens dans pour le bonheur des miens : Bi Trah Alphonse Cheriff KAKOU
Si l’espace peut être compris en fonction de ce qui s’y déroule, la présente réflexion, à partir de l’œuvre de…
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La spectacularisation de l’information médiatique dans le roman africain francophone : GERVAIS-XAVIER KOUADIO
Dans la « société du spectacle », l’information se pare du sensationnel et de ses dérives. Le roman francophone se…
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L’oralité dans le carnaval de la mort de Fidele Pawindbe Rouamba : Léonce Emma SANOU
Les romanciers burkinabè exploitent abondamment l’oralité pour nourrir la diégèse de leur trame narrative. Nous le percevons chez Patrick G.…
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